SOMMAIRE.
Au plan international, c’est toujours le rapport de force inter-capitaliste, tantôt tendu,
tantôt calme, russo-étatsunien (ou l’inverse!) qui tient la vedette.
Aujourd’hui, à propos de l’Ukraine, comme hier -et ce n’est pas fini- à propos de la Syrie, de l’Iran.
Et l’Europe alors? « Rien à foutre! », comme le disait, en principe hors micro, la numéro 2 de la diplomatie étatsunienne.
Pour les citoyens, l’esssentiel, c’est bien l’éloignement des perspectives de guerre.
Il n’y a pas que l’Ukraine pour mettre en scène la bataille des oligarques
(en fait, les pillieurs des biens publics dans les ex-pays soviétiques)*
. Les Slovaques viennent de remettre le pouvoir présidentiel à un milliardaire du même tonneau.
De la corruption encore: en Turquie le parti au pouvoir fait des affaires -qui marchent –
puisqu’il…remporte les élections municipales!
François Hollande, victime alors du célèbre et très controversé hommage du vice à la vertu?
Il n’a pas pioché dans la caisse mais a fait des trous béants dans ses promesses sociales électorales.
Incapable, le Président, de faire passer (ainsi tout dernièrement), une loi (dite de Florange)
espérée depuis longtemps bien que limitée,
qui pénaliserait un patronat jouant avec le salariat. « Variable d’ajustement » intouchable n’est-ce pas ?
Et tout ça, à juste titre, on ne le lui a pas pardonné lors des Municipales.
Ayrault s’en va, Valls arrive : le GIEC prédit la poursuite du réchauffement climatique.
Mais pas où ce serait nécessaire, par exemple entre le peuple français et ses dirigeants!
*Voir le dernier numéro du Monde diplo.
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