vendredi 7 décembre 2018

vendredi 7 décembre 2018

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Gloriagloria, un groupe lyonnais qui est inspiré par la musique psychédélique des sixties, harmonies vocales très présentes

https://www.lesinrocks.com/2016/11/18/musique/gloria-sort-son-album-in-excelsis-stereo-portrait-du-groupe-11880683/

A l’occasion de la sortie de leur premier album, « In Excelsis Stereo », Gloria a répondu à nos questions. Focus sur un groupe qui ressuscite les sixties.

Le nom ne vous dit peut être encore rien, mais cela ne saurait tarder. Aujourd’hui sort leur premier album, In Excelsis Stereo. A cette occasion, nous avons pu poser quelques questions à Gloria, un groupe à suivre de très près pour ceux qui aiment les années 60 et les guitares.

Gloria, une grande famille musicale

Gloria compte trois filles et trois garçons : Wendy Martinez, Baby B, Amy Winter, Josselin, Kid Victrola et Thomas « Acromath ». Cette bande de potes, pourtant venue d’origines musicales diverses, forme bel et bien une seule et même famille, musicale, sentimentale et même parfois de chair et de sang. Kid Victrola, aux instruments, nous le confirme d’ailleurs :

« C’est bien symétrique et bien rangé. Selon le cas, on est amis, frères et sœurs, en couple, et beau-frère et belle-soeur… (véridique !) On est une famille… »

Quant à leur rencontre, elle semblait tout à fait naturelle.

« Il n’y a pas eu de rencontre précise. On fait tous partie d’une bande d’amis et musiciens, qui jouent et se mélangent en pleins de groupes. Pêle mêle on peut citer Ginger Accident, Deborah Kant, Tara King TH, Grand Veymont, Baby B, Bye Bye Dubai, Too Many Monkeys… et il en manque ! »

De cette rencontre naîtra In Excelsis Stereo. L’album s’est concrétisé au fur et à mesure des rencontres, pour trouver son accomplissement dans les studios Kermax. Si les compositions existaient déjà avant la création du groupe, elles n’ont eu de cesse de se ré-inventer, et d’évoluer au fil des discussions. Après la réalisation du disque, et la rencontre avec le label indé Howlin’ Banana, le groupe a décidé de « donner une incarnation scénique au groupe ». Pour Kid Victrola, cet album est alors passé d’un fantasme de producteur à un objet fini, pour notre plus grand plaisir.

Un album aux influences 60’s assummées

Le disque se compose de dix tracks, toutes baignées par l’influence des 60’s. Et quand on demande au groupe ce que représente cette période pour eux, la réponse fuse comme une évidence :

« C’est le grenier aux merveilles incontournable de la musique pop, donc de la musique classique du vingtième siècle. On a un intérêt évident pour les autres décennies mais les sixties sont tellement foisonnantes et tellement de choses s’y sont jouées, que ça reste une réserve immense d’inspiration. »

Ils citent ensuite leurs références, emblématiques de cette époque :

« Des Beatles, aux Stooges, en passant par John Fahey, La bossa, le free jazz, Walter Carlos ou Silver Apples, on a l’impression que tout y a été dit, et toujours avec la fraicheur des premières fois. »

Un album qui rend donc finalement hommage à cette période, en « faisant passer ce que les sixties leur ont apporté comme joie sonore ».
Mais cette influence se ressent également dans la pochette de l’album (dessinée par Wendy Martinez, l’une des chanteuse) et dans l’esthétique des clips, notamment celui de Beam Me Up._______________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

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Mercredi 19, jeudi 20, vendredi 21 à 20h
Karine Daviet + Blandine Juthier
5€

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicole_Le_Douarin

Le domaine de recherche de Nicole Le Douarin est l’embryologie et le développement. Elle a contribué de façon majeure à une meilleure compréhension de la formation de la crête neurale, avec le développement en 1969 d’une technique originale de visualisation de la différenciation et de la migration des cellules embryonnaires, la fusion d’embryons chimériques caille-poulet. Cette approche a permis des avancées cruciales dans la connaissance des systèmes nerveux et immunologique et lui a apporté une reconnaissance scientifique internationale.

Publications(en) The Neural Crest, Cambridge University Press, 1982, (ISBN 978-0521247702) (rééd. 1999)

Quelle est la genèse du groupe ?
[novox] existe depuis un peu plus de dix ans et rassemble sept musiciens. On retrouve une contrebassiste qui vient de la musique classique, des musiciens plutôt jazz avec le bassiste, les deux cuivres (saxo alto et trompette) et le pianiste qui joue sur un Fender Rhodes. Il y a également un DJ orienté hip-hop et moi-même, à la guitare, plutôt influencé funk rock. Au final, [novox] est une formation musicale principalement orientée jazz funk. Notre premier album s’intitulait Out of Jazz. Le deuxième a été composé en collaboration avec Webbafied, un rappeur new yorkais. Ce mois-ci, on sort notre troisième album qui est un hommage aux films de blaxploitation et à leurs bandes originales. Certains morceaux ont, par exemple, beaucoup été repris par Quentin Tarantino dans ses films, notamment dans Foxy Brown.

Pourquoi avoir choisi de rendre hommage à cet univers ?
C’est dans la lignée des influences jazz funk de [novox], avec notamment des groupes comme Parliament Funkadelic ou Herbie Hancock. Personnellement, c’est cette musique qui m’a donné envie d’en faire. La blaxploitation a donné des films de série B assez mauvais mais des bandes originales extraordinaires. C’est aussi une musique dansante et plaisante à jouer.

Comment s’est déroulée la composition de l’album ?
On a enregistré ces 14 titres au Studio E, à Montbrison, qui a notamment vu passé Mickey 3D. On s’est enfermé pendant sept jours et sept nuits avec un ingénieur du son anglais, Simon Widdowson. On souhaitait que celui-ci apporte une touche personnelle à cet album. Il est venu nous voir pendant les répétitions pour écouter et cerner les musiciens, puis nous a laissé jouer live en studio avant de remanier les titres à sa façon. Cette démarche me fait penser à celle de Teo Macero avec Miles Davis. Il laissait jouer l’artiste puis recréait l’album ensuite en le façonnant à sa manière, avec sa propre vision. Pour ce disque, Simon Widdowson peut donc être considéré comme le 8ème musicien du groupe.

Quel est le sens du titre de l’album « Over the Honeymoon » ?
On a utilisé pas mal de sample de films dans l’album. L’un d’eux disait : « Honeymoon is over ». On a simplement inversé cette phrase qui veut dire la lune de miel est terminée. Pour nous, ça signifie que les choses sérieuses commencent…

 

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