Une grave trahison a eu lieu alors que les thugs se délassaient en vacances : l’un des chroniqueurs a dénoncé la très révolutionnaire émission auprès de Jean-Vincent Placé, futur éventuel ministre de la culture potentiel. Sous l’égide de la victime, M.Thug, et du juge, Bertrand Phibien, s’ouvre alors un procès (stalinien) en bonne et due forme pour tenter de punir le traître. Malgré tous les efforts des thugs, la peine (capitale) encourue par la balance n’altérera en rien la décision du GRAND Jean-Vincent… nos révolutionnaires signeront donc là leur dernière émission. (Une émission de délire entre potes pour clore le beau périple canusien de Montaigne was a thug).
Une émission sous le double signe de la fiction et de l’improvisation à télécharger sur le blog audio de Montaigne was a Thug.