Le noyau dur de BlablaMix vient du Bangladesh, un pays où l’on ne peut pas dire, et donc penser, ce que l’on veut. Pour leur première émission sans Véronique, l’équipe, en plus du trac, découvre la radio violentée. Dipù et Sumon sont un peu surpris : » la liberté d’expression est un bien précieux qu’ il faut défendre, ici aussi, peste fieffée ». Comme ils oublient d’enregistrer, sachez que cette émission fut magnifiquement émouvante.