tous les vendredis de 16H à 17H en direct sur radio Canut: 102.2 FM en direct
contacter June Phield émission patchworld: patchworldcanut@gmail.com
ELEKTROPHIELD PROJEKT est un voyage sonore et mélodique
avec pour titres des noms de villes, de capitales , de Pays…
(représentant plus de 60 titres)
en hommage à la multiculturalité;
les musiques de June Phield nous font voyager à travers des sons électroniques
et des mélodies inspirées de ses études et expériences musicales transversales
qui comprennent : New wave, pop, rock; rock progressif, metal, expé., indus,
hip hop, funk, jazz, synthé/electro, blues,trad, musiques du mondes, classique
et contemporaine (acousmatique)…
ELEKTROPHIELD PROJEKT EST UNE MUSIQUE ÉLECTRO
Accompagnée de projection vidéo: DE PEINTURES & graphiques de JUNE PHIELD
en écoute
le titre: « Barcelone » et « Croatie » de June PHIELD
le morceau « Estonie » et le titre »Lettonie »de June PHIELD
Pièces évolutives qui incitent au voyage
Chacune des œuvres a un titre qui désigne une ville ou un pays
« ce sont des hymnes imaginaires, des hymnes du futur, progressifs avec plusieurs couleurs sonores pour représenter la mondialisation, les migrations dans les grandes villes où toutes les cultures se croisent et s’influencent,
donnant des connaissances et cultures multiples et hybrides, là où la musique n’a pas de frontière: dans notre imagination.
Ses compositions sont accompagnées par ses projections de vidéos: La vidéo est un film mélangeant les dessins, peintures et photos de June Phield
Publié dansNon classé|Commentaires fermés sur Vendredi 2 février 2024
La Théorie du Chaos : Vers une nouvelle science (1989) est la traduction en français du livre Chaos: Making A New Science (1987) de James Gleick. Il est l’un des premiers livres à introduire auprès du grand public des principes et découvertes de la théorie du chaos2.
lecture du livre de Dan Millman « Le guerrier pacifique »
» Tout commença en ce mois de décembre 1966 qui marqua le début d’une série extraordinaire d’événements dans ma vie. J’étais en troisième année à l’université de Californie, à Berkeley.
Un jour, à trois heures vingt du matin, dans une station-service ouverte toute la nuit,
je rencontrai pour la première fois Socrate.[…] Cette rencontre fortuite,
ainsi que les aventures qui ont suivi, allaient changer ma vie.
« L’homme que l’auteur appelle Socrate a réellement existé.
Appelée par Victor Hugo « la Voix d’or », mais aussi par d’autres « la Divine » ou encore « l’Impératrice du théâtre », elle est considérée comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIXe siècle. Première « étoile » internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l’expression de « monstre sacré ».
Eugénie Niboyet donne des éléments autobiographiques dans la dernière partie de son ouvrage Le Vrai Livre des femmes: « Je relève d’une famille lettrée, d’origine genevoise » écrit-elle.
Son père, qu’elle présente comme étant venu en France pour être « élève à la faculté de médecine de Montpellier », semble exercer la profession d’apothicaire, à partir de 1783.
Il est gagné aux idées de la Révolution, et devient, selon une source4, successivement «pharmacien en chef de l’hôpital Sans-Culotte», puis exerce «la charge d’inspecteur et de surveillant des pharmacies de la 9e division militaire», mais sous la Terreur, doit s’enfuir : Eugénie Niboyet, dans son écrit, souligne l’importance de l’origine genevoise dans l’ouverture de son père Georges aux idées nouvelles issues de la Révolution mais aussi sa modération,
son « refus des excès », qui lui valut de devoir se réfugier dans les Cévennes pour éviter l’échafaud. Il est en difficulté professionnelle lors du changement de régime,
et sommé de faire valider ses diplômes de pharmacien, ce qui le pousse à quitter la ville
avec sa famille, pour gagner Lyon où il reprend un exercice de pharmacien.
Il a épousé Marguerite Gal-Ladeveze, qu’Eugénie Niboyet présente comme
la « fille d’un pasteur du Gard »
À Lyon où la famille est installée, Georges-Louis Mouchon et son épouse élèvent
leurs six enfants (deux garçons et quatre filles) dans « le respect et l’amour » de Bonaparte.
Un des fils, Louis, aide de camp du général Teste, trouve la mort en 1812,
À 26 ans, Eugénie Mouchon épouse à Lyon le 8 octobre 1822, Paul-Louis Niboyet,
âgé de 30 ans, avocat protestant, fils de Jean Niboyet, anobli en 1810 par Napoléon Ier.
Dans son autobiographie, elle insiste sur l’attachement de sa famille à Napoléon,
qu’elle évoque comme l’une des raisons du choix de son époux :
« Enfant de l’Empire je ne pouvais épouser qu’un impérialiste ».
Le couple s’installe à Mâcon et le 22 juin 1825, nait leur unique enfant, Jean Alexandre Paulin Niboyet (1825-1906)9, qui sera plus tard écrivain sous le pseudonyme de Fortunio Niboyet
(il sera le père de Jean-Paulin Niboyet, juriste spécialiste du droit international privé
dans la première moitié du XXe siècle).
En 1836, Eugénie Niboyet et son marie se séparent, elle devient veuve en 1855.
Débuts littéraires
En novembre 1829, en accord avec son mari, elle s’installe à Paris.
Séparée de son mari vers 1836 et ne disposant d’aucune fortune,
elle a besoin de travailler et essaie de gagner sa vie avec l’écriture.
En 1836, elle présente son ouvrage Des aveugles et de leur éducation au concours
En 1837, face aux difficultés financières dans lesquelles elle se débat,
elle sollicite un secours auprès du ministre de l’Instruction publique
en vue d’obtenir une indemnité littéraire.
En 1837, elle compose deux pièces : Le Protecteur, un vaudeville en 1 acte (avec M. Lurine),
qui est joué le 10 mai 1837 au Théâtre du Vaudeville, et La Justice au village, une comédie représentée au Théâtre de M. Comte (Théâtre Choiseul) le 23 décembre de la même année.
En 1840, elle produira une troisième œuvre dramatique pour les enfants L’Atelier de David ou les Jeunes peintres, vaudeville en 1 acte, co-écrit avec Mélanie Dumont.
Il est créé au Théâtre du Gymnase enfantin le 1er août 1840.
Philanthrope protestante et militante féministe
Protestante fervente et philanthrope Eugénie Niboyet incarnera une avant-garde
et la volonté de ce dernier de changer radicalement les règles de la morale sexuelle,
en établissant la communauté des femmes, le schisme de Bazard et l’orientation radicalement religieuse donnée par Enfantin provoquent de nombreux départs.
Eugénie Niboyet va s’éloigner d’un mouvement dont elle ne renie pas les idées sur l’économie
Début du journalisme féminin
Avec les prolétaires saint-simoniennes, elle fait partie du groupe des femmes
qui participent au premier titre écrit intégralement par des femmes : La Femme libre
Fouriériste
Comme les deux fondatrices et des participantes aux premières livraisons de La Femme libre, elle se rapproche du mouvement de Charles Fourier qui présentait le traitement des femmes comme la mesure la plus vraie du progrès social. Elle va notamment y rencontrer Flora Tristan
Femme de presse et inventrice
De retour à Lyon en 1833, Eugénie Niboyet fonde le premier journal féministe en province
avec la création du titre Le Conseiller des femmes, hebdomadaire sans illustration imprimé chez Boitel. Puis elle participe à la création en 1834 de L’Athénée des femmes
et fonde la même année le bihebdomadaire littéraire Mosaïque lyonnaise, dont elle est rédactrice en chef
En janvier 1835, « désireuse de répandre à Lyon une nouvelle méthode d’enseignement »,
elle ouvre deux cours gratuits d’orthographe en 30 leçons quotidiennes, destinés respectivement à la classe ouvrière et aux femmes
Elle est rédactrice en chef de l’hebdomadaire
La Paix des deux mondes, écho des sociétés de la paix, du commerce, de l’industrie, des sciences,
de la littérature et des arts du 15 février au 17 octobre 1844
En juillet 1836, de retour à Paris, Eugénie Niboyet fonde La Gazette des Femmes
avec l’aide d’amis tels Charles-Frédéric Herbinot de Mauchamps. Une sorte de club, réunissant les rédacteurs et les abonnés, se réunit pour soutenir et gérer le journal, mais aussi débattre notamment de la lutte pour l’exercice des droits politiques et civiques des femmes.
Eugénie Niboyet rassemble de nombreuses femmes lors de ces réunions hebdomadaires
Le 7 juillet 1838, elle obtient un brevet d’invention de dix ans pour une encre indélébile
Militante féministe politique
La révolution de 1848 suscite un nouvel espoir, notamment la levée des restrictions de réunion permettant le développement des groupes qui militent pour les droits des femmes.
En mars 1848, Eugénie Niboyet fonde et dirige un journal ne traitant que de la question
des femmes et de leurs droits.
La Voix des Femmes, sous-titré « Journal socialiste et politique, organe d’intérêts pour toutes les femmes », est le premier quotidien français féministe.
Sur le modèle du club de La Gazette des Femmes, La Voix des Femmes va bientôt s’adjoindre
un club politique – une Société – à laquelle vont participer de nombreuses féministes
déjà impliquées dans les petites parutions précédentes.
Ce mouvement n’est plus réservé aux femmes : des hommes y contribuent, comme Jean Macé ou Paulin Niboyet, son fils.
Le Club défend un catalogue très large de réformes favorables aux femmes,
tant dans le domaine domestique que celui de la politique et donne d’abord des conférences réservées aux femmes. Lorsque des hommes sont admis à ces sessions, au mois de mai, s’ensuit un énorme chahut
Le journal Le Charivari notamment, s’en prend régulièrement à la Voix des femmes
et aux clubs féminins et publie une série de caricatures d’Honoré Daumier, « les Divorceuses ».
les caricaturistes croquent Eugénie Niboyet et les journalistes de La Voix des Femmes.
Le bruit de l’affaire est retentissant, il se retourne contre les promoteurs de cette initiative,
et le gouvernement interdit le droit de réunion des clubs de femmes
Le 20 juin, Eugénie Niboyet, découragée et meurtrie, cesse la publication
de La Voix des Femmes, et les féministes se dispersent pour éviter la répression.
Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard, à la ville Madame Jacques Récamier dite Juliette ou Julie Récamier, née le 3 décembre 1777 à Lyon et morte le 11 mai 1849 à Paris,
Son œuvre, très mince en volume (662 vers), se compose d’un Débat de Folie et d’Amour
en cinq dialogues en prose, de trois Élégies en décasyllabes, et de vingt-quatre sonnets également en décasyllabes, portant sur l’amour éprouvé par les femmes, et les tourments
qu’il peut entraîner.
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Publié dansNon classé|Commentaires fermés sur Vendredi 15 septembre 2023