La Théorie du Chaos : Vers une nouvelle science (1989) est la traduction en français du livre Chaos: Making A New Science (1987) de James Gleick. Il est l’un des premiers livres à introduire auprès du grand public des principes et découvertes de la théorie du chaos2.
lecture du livre de Dan Millman « Le guerrier pacifique »
» Tout commença en ce mois de décembre 1966 qui marqua le début d’une série extraordinaire d’événements dans ma vie. J’étais en troisième année à l’université de Californie, à Berkeley.
Un jour, à trois heures vingt du matin, dans une station-service ouverte toute la nuit,
je rencontrai pour la première fois Socrate.[…] Cette rencontre fortuite,
ainsi que les aventures qui ont suivi, allaient changer ma vie.
« L’homme que l’auteur appelle Socrate a réellement existé.
Appelée par Victor Hugo « la Voix d’or », mais aussi par d’autres « la Divine » ou encore « l’Impératrice du théâtre », elle est considérée comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIXe siècle. Première « étoile » internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l’expression de « monstre sacré ».
Eugénie Niboyet donne des éléments autobiographiques dans la dernière partie de son ouvrage Le Vrai Livre des femmes: « Je relève d’une famille lettrée, d’origine genevoise » écrit-elle.
Son père, qu’elle présente comme étant venu en France pour être « élève à la faculté de médecine de Montpellier », semble exercer la profession d’apothicaire, à partir de 1783.
Il est gagné aux idées de la Révolution, et devient, selon une source4, successivement «pharmacien en chef de l’hôpital Sans-Culotte», puis exerce «la charge d’inspecteur et de surveillant des pharmacies de la 9e division militaire», mais sous la Terreur, doit s’enfuir : Eugénie Niboyet, dans son écrit, souligne l’importance de l’origine genevoise dans l’ouverture de son père Georges aux idées nouvelles issues de la Révolution mais aussi sa modération,
son « refus des excès », qui lui valut de devoir se réfugier dans les Cévennes pour éviter l’échafaud. Il est en difficulté professionnelle lors du changement de régime,
et sommé de faire valider ses diplômes de pharmacien, ce qui le pousse à quitter la ville
avec sa famille, pour gagner Lyon où il reprend un exercice de pharmacien.
Il a épousé Marguerite Gal-Ladeveze, qu’Eugénie Niboyet présente comme
la « fille d’un pasteur du Gard »
À Lyon où la famille est installée, Georges-Louis Mouchon et son épouse élèvent
leurs six enfants (deux garçons et quatre filles) dans « le respect et l’amour » de Bonaparte.
Un des fils, Louis, aide de camp du général Teste, trouve la mort en 1812,
À 26 ans, Eugénie Mouchon épouse à Lyon le 8 octobre 1822, Paul-Louis Niboyet,
âgé de 30 ans, avocat protestant, fils de Jean Niboyet, anobli en 1810 par Napoléon Ier.
Dans son autobiographie, elle insiste sur l’attachement de sa famille à Napoléon,
qu’elle évoque comme l’une des raisons du choix de son époux :
« Enfant de l’Empire je ne pouvais épouser qu’un impérialiste ».
Le couple s’installe à Mâcon et le 22 juin 1825, nait leur unique enfant, Jean Alexandre Paulin Niboyet (1825-1906)9, qui sera plus tard écrivain sous le pseudonyme de Fortunio Niboyet
(il sera le père de Jean-Paulin Niboyet, juriste spécialiste du droit international privé
dans la première moitié du XXe siècle).
En 1836, Eugénie Niboyet et son marie se séparent, elle devient veuve en 1855.
Débuts littéraires
En novembre 1829, en accord avec son mari, elle s’installe à Paris.
Séparée de son mari vers 1836 et ne disposant d’aucune fortune,
elle a besoin de travailler et essaie de gagner sa vie avec l’écriture.
En 1836, elle présente son ouvrage Des aveugles et de leur éducation au concours
En 1837, face aux difficultés financières dans lesquelles elle se débat,
elle sollicite un secours auprès du ministre de l’Instruction publique
en vue d’obtenir une indemnité littéraire.
En 1837, elle compose deux pièces : Le Protecteur, un vaudeville en 1 acte (avec M. Lurine),
qui est joué le 10 mai 1837 au Théâtre du Vaudeville, et La Justice au village, une comédie représentée au Théâtre de M. Comte (Théâtre Choiseul) le 23 décembre de la même année.
En 1840, elle produira une troisième œuvre dramatique pour les enfants L’Atelier de David ou les Jeunes peintres, vaudeville en 1 acte, co-écrit avec Mélanie Dumont.
Il est créé au Théâtre du Gymnase enfantin le 1er août 1840.
Philanthrope protestante et militante féministe
Protestante fervente et philanthrope Eugénie Niboyet incarnera une avant-garde
et la volonté de ce dernier de changer radicalement les règles de la morale sexuelle,
en établissant la communauté des femmes, le schisme de Bazard et l’orientation radicalement religieuse donnée par Enfantin provoquent de nombreux départs.
Eugénie Niboyet va s’éloigner d’un mouvement dont elle ne renie pas les idées sur l’économie
Début du journalisme féminin
Avec les prolétaires saint-simoniennes, elle fait partie du groupe des femmes
qui participent au premier titre écrit intégralement par des femmes : La Femme libre
Fouriériste
Comme les deux fondatrices et des participantes aux premières livraisons de La Femme libre, elle se rapproche du mouvement de Charles Fourier qui présentait le traitement des femmes comme la mesure la plus vraie du progrès social. Elle va notamment y rencontrer Flora Tristan
Femme de presse et inventrice
De retour à Lyon en 1833, Eugénie Niboyet fonde le premier journal féministe en province
avec la création du titre Le Conseiller des femmes, hebdomadaire sans illustration imprimé chez Boitel. Puis elle participe à la création en 1834 de L’Athénée des femmes
et fonde la même année le bihebdomadaire littéraire Mosaïque lyonnaise, dont elle est rédactrice en chef
En janvier 1835, « désireuse de répandre à Lyon une nouvelle méthode d’enseignement »,
elle ouvre deux cours gratuits d’orthographe en 30 leçons quotidiennes, destinés respectivement à la classe ouvrière et aux femmes
Elle est rédactrice en chef de l’hebdomadaire
La Paix des deux mondes, écho des sociétés de la paix, du commerce, de l’industrie, des sciences,
de la littérature et des arts du 15 février au 17 octobre 1844
En juillet 1836, de retour à Paris, Eugénie Niboyet fonde La Gazette des Femmes
avec l’aide d’amis tels Charles-Frédéric Herbinot de Mauchamps. Une sorte de club, réunissant les rédacteurs et les abonnés, se réunit pour soutenir et gérer le journal, mais aussi débattre notamment de la lutte pour l’exercice des droits politiques et civiques des femmes.
Eugénie Niboyet rassemble de nombreuses femmes lors de ces réunions hebdomadaires
Le 7 juillet 1838, elle obtient un brevet d’invention de dix ans pour une encre indélébile
Militante féministe politique
La révolution de 1848 suscite un nouvel espoir, notamment la levée des restrictions de réunion permettant le développement des groupes qui militent pour les droits des femmes.
En mars 1848, Eugénie Niboyet fonde et dirige un journal ne traitant que de la question
des femmes et de leurs droits.
La Voix des Femmes, sous-titré « Journal socialiste et politique, organe d’intérêts pour toutes les femmes », est le premier quotidien français féministe.
Sur le modèle du club de La Gazette des Femmes, La Voix des Femmes va bientôt s’adjoindre
un club politique – une Société – à laquelle vont participer de nombreuses féministes
déjà impliquées dans les petites parutions précédentes.
Ce mouvement n’est plus réservé aux femmes : des hommes y contribuent, comme Jean Macé ou Paulin Niboyet, son fils.
Le Club défend un catalogue très large de réformes favorables aux femmes,
tant dans le domaine domestique que celui de la politique et donne d’abord des conférences réservées aux femmes. Lorsque des hommes sont admis à ces sessions, au mois de mai, s’ensuit un énorme chahut
Le journal Le Charivari notamment, s’en prend régulièrement à la Voix des femmes
et aux clubs féminins et publie une série de caricatures d’Honoré Daumier, « les Divorceuses ».
les caricaturistes croquent Eugénie Niboyet et les journalistes de La Voix des Femmes.
Le bruit de l’affaire est retentissant, il se retourne contre les promoteurs de cette initiative,
et le gouvernement interdit le droit de réunion des clubs de femmes
Le 20 juin, Eugénie Niboyet, découragée et meurtrie, cesse la publication
de La Voix des Femmes, et les féministes se dispersent pour éviter la répression.
Jeanne Françoise Julie Adélaïde Bernard, à la ville Madame Jacques Récamier dite Juliette ou Julie Récamier, née le 3 décembre 1777 à Lyon et morte le 11 mai 1849 à Paris,
Son œuvre, très mince en volume (662 vers), se compose d’un Débat de Folie et d’Amour
en cinq dialogues en prose, de trois Élégies en décasyllabes, et de vingt-quatre sonnets également en décasyllabes, portant sur l’amour éprouvé par les femmes, et les tourments
qu’il peut entraîner.
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lyonnaise compositrice de musique électro avec son projet:
ELEKTROPHIELD: titre « Jordanie »
JUNE PHIELD
elle mixe en direct ses séquences composées avec ses machines sur des compositions
qui ont des titres de villes et de pays ,
ce vendredi en podcast vous pouvez entendre « JORDANIE »
et lors des évènements publiques :
elle projette ses peintures et dessins numérisés et colorés, abstraits ou figuratifs…
Elle a pu ainsi réalisée en moins d’un an 5 évènements avec exposition de ses œuvres arts plastiques , de la danse en ombre portée, et des DJ mix en immersion avec vidéos:
au Flaneur,
à la Boulangerie du Prado, à la Menuiserie, à la Grande salle Duhamel
à Villeurbanne pour le premier festival électronique 2023,
et lieux underground et soirées privées transes…
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Elle comporte 175 volumes, publiés de 1949 à 2001.
en fond musical extraits de l’album A’AIN
Ce groupe composé de Rebecca Roger Cruz, chanteuse lyrique d’exception et musicologue vénézuélienne, Sergio Laguado, guitariste de haut vol colombien et le multi-instrumentiste Manuel Alejandro Sánchez, originaire du Venezuela, offre un nouveau souffle de force vitale venu de ces plaines sauvages où aucune frontière n’est respectée. Ainsi, le joropo, genre musical traditionnel de Venezuela et de Colombie, trouve avec cette formation, un mélange de rythmes afro-colombiens et de mélodies issues du flamenco ou du jazz à essence latine.
Rebecca Roger Cruz chanteuse du groupe AA’IN
Publié dansNon classé|Commentaires fermés sur vendredi 18 août 2023
Patchworld émission sur les ondes de Radio Canut 102.2 FM
Lyon 1er
depuis 2012 produite réalisée et présentée par June Phield
aujourd’hui c’est le thème nostalgie 1981
année 1981 revival, vintage party
2 heures de conférence avec Quizz, blindtest , société et arts de 1981
en écoute
Madness, Bad Manners, UB40
electric light orchestra
Men at Work
Shakin’ Stevens, is a Welsh singer and songwriter. He was the UK’s biggest-selling singles artist of the 1980s.
His recording and performing career began in the late 1960s, although it was not until 1980 that his commercial success began. His most successful songs were nostalgia hits, evoking the sound of 1950s rock and roll and pop.
In the UK alone, Stevens has charted 33 Top 40 hit singles including four chart-topping hits « This Ole House« , « Green Door« , « Oh Julie
en écoute le groupe lyonnais: Kitch avec un extrait de l’album Calame
June Phield
June Phield une artiste polymorphe Passionnée de littérature, de l’Histoire (de Lyon) de musique, d’Arts et aussi de physique (astronomie) et de biologie. Elle a composé pour la vidéo, le théâtre, la danse, notamment au théâtre Astrée, au CCO, au planétarium de Vaulx en Velin… Elle expose ses œuvres plastiques : Dessins, peintures, photos, collages dans divers lieux, Bars, mairie de Lyon et ses installations sonores ont été entendu dans des endroits originaux comme des ruines d’églises, des squats, mais aussi opéra de Lyon, radios,
conservatoires,
et bars « enfumés » (à l‘époque)… Rencontrer les gens, créer du lien social, sont des éléments importants pour elle. Pédagogue formée en musicothérapie et en composition électroacoustique. Elle écrit des fanzines, des poèmes, des chansons, et met en ondes ses reportages
certains pour la ville de Lyon, et depuis 10 ans dans l’émission Patchworld sur Radio Canut. Elle a créé récemment tout un répertoire sur ses compositions électroniques, inspiré de voyages imaginaires. Initiatrice du Collectif Portraits de Voix pour lequel elle compose, écrit et coordonne l’équipe. Elle a commencé à jouer du clavier dans des groupes dès l’âge de 14 ans. Collectionneuse de claviers vintage (qu’elle échantillonne pour créer des samples et des motifs mélodiques dans ses compositions.) June Phield est une passionnée qui consacre toute sa vie à l’art et l’expression libre. Sans internet, discrète, elle choisit de collaborer avec des personnes pour leurs valeurs et leurs engagements, privilégiant la rencontre directe et spontanée.
June Phield compositrice de musique électronique présente
ELEKTROPHIELD PROJECT avec
le titre « ROME » musique électronique de 38MN
titre n°2 « Suisse » 10mn
titre n°3 « Tanger »
titre n° 4 « Amsterdam »
l’Émission se termine avec un morceau du groupe A’AIN
Publié dansNon classé|Commentaires fermés sur Vendredi 28 Juillet 2023