Musique, maestro !
Posté le | mar 6 Oct 2015 | Commentaires fermés sur Musique, maestro !
Au programme, dans Spectaculaire et à l’Opéra de Lyon (si si, c’est de la musique alors y’a un rapport !!) : le jazzman Michel Fernandez vient le mercredi 7 octobre dans l’émission et l’opéra la Damnation de Faust de Berlioz est donné du mardi 6 octobre au jeudi 22 ! Concernant notre invité, réécoutez l’émission du 24 janvier dernier pour en savoir plus sur lui et être fin prêt à entendre parler de son actualité !
« Leçon » inaugurale au TNP
Posté le | mar 6 Oct 2015 | Commentaires fermés sur « Leçon » inaugurale au TNP
Le TNP a fait sa rentrée, mercredi 30 septembre, avec La Leçon d’Eugène Ionesco. La mise en scène de cette pièce de 1950 est assurée par le directeur de la maison villeurbannaise, Christian Schiaretti.
La Leçon est l’histoire d’un emportement. La scène se confond avec une salle de séjour. La mise en place de l’action est lente. Au moment où s’ouvre le drame, la bonne nettoie les lieux. On la voit essuyer des couteaux, probablement la fin d’une vaisselle. Derrière le décor se font entendre des bruits de scie, de marteau et de perceuse. Cet environnement banal se trouve bousculé par l’entrée d’une jeune fille, venue prendre sa leçon auprès du professeur. Le maître des lieux, appelé par la bonne, effectue un démarrage diesel auprès de son élève. On commence avec des trivialités. Le maître s’assure que l’élève connaît bien ses quatre saisons, il constate avec autant de soulagement qu’elle n’ignore pas le nom de la capitale de la France. Cependant, comme la jeune femme veut passer son « doctorat total », il faut bien monter en puissance. De l’arithmétique à la linguistique, la leçon devient de plus en plus compliquée jusqu’à devenir complètement mais joyeusement incompréhensible. Le professeur, précisons- le, cultive une façon pour le moins singulière de s’orienter dans le savoir, doublée d’une appétence marquée pour le loufoque. Tentez par exemple de suivre ces linéaments de philologie, absurdes mais assénés sur un ton docte et pince-sans-rire :
« Ainsi donc, mademoiselle, l’espagnol est bien la langue mère d’où sont nées toutes les langues néo- espagnoles, le latin, l’italien, notre français, le portugais, le roumain, le sarde ou sardanapale, l’espagnol et le néo-espagnol – et aussi, pour certains de ses aspects, le turc lui-même plus rapproché cependant du grec, ce qui est tout à fait logique, étant donné que la Turquie est voisine de la Grèce et la Grèce est plus près de la Turquie que vous et moi : ceci n’est qu’une illustration de plus d’une loi linguistique très importante selon laquelle géographie et philologie sont sœurs jumelles… Vous pouvez prendre note, mademoiselle« .
Grisé par sa faconde, notre professeur monopolise progressivement la parole et s’emballe, jusqu’à s’enflammer absolument. On le voit ainsi passer de la bonhomie à l’hystérie, d’une bienveillance sucrée au défoulement total. La bonne tente à intervalles réguliers de calmer les ardeurs de son maître, mais en vain. L’état de la jeune élève empire : à l’ennui succède un mal de dents lancinant, au mal de dents succède le mal à la tête, et le mal est bientôt généralisé. Survolté, le professeur en vient à planter un couteau dans sa jeune apprentie. La bonne revient en scène pour aider à dégager le corps et pour rappeler, dans un soupir, que cet assassinat est le quarantième de la journée ! Il faut bien préparer un nouveau cercueil. La pièce peut s’achever, en un effet de boucle grinçant, par des bruits de scie, de marteau et de perceuse, alors qu’une nouvelle élève frappe déjà à la porte. Le jeu macabre peut reprendre !
Polarisée par un professeur fou qui sait parfois être raisonnable, la pièce fonctionne sur le principe des vases communicants. Ce principe joue d’abord entre les personnages. Le maître ne prend son élan qu’au détriment de son élève. Il vampirise de la sorte son énergie et, plus la pièce avance, plus le professeur est exalté mais plus l’élève souffre. La sociologie de Bourdieu aime à associer l’enseignement à la violence symbolique. La Leçon donne bien à voir cette dimension de la relation d’apprentissage, mais elle se veut plus littérale encore, puisqu’il est surtout question de violence physique au fil de l’improbable déchaînement du corps professoral. Le protagoniste est un furieux qu’il faudrait classer à mi-chemin de Tryphon Tournesol et de Barbe Bleue. C’est Caligula qui aurait passé les concours de l’enseignement – et l’on sait que ce professeur est détenteur d’un « doctorat supra-total » ! Ce professeur s’apparente de surcroît à un pervers sexuel, même si cette tare reste secondaire dans l’intrigue. Il présente surtout quelque chose d’un cannibale. Il envisage ainsi sans vergogne de manger les oreilles de son élève, technique pédagogique aussi originale que contestable.
Le principe des vases communicants rend compte également des rapports entre la scène et la salle : on rit à mesure que les choses se gâtent. Beckett prétendait qu’il n’y a rien de plus drôle et de comique que le malheur. La Leçon illustre parfaitement ce principe : l’hilarité naît de l’effroi, la pièce met en scène un rituel sacrificiel qui sert de catharsis collective. Le comique, il est vrai, s’insinue dans tous les pores de cette œuvre jubilatoire. Le comique de répétition est omniprésent, dans l’expression récurrente et grandissante du mal de dents, ou encore dans les avertissements de la bonne, qui scandent le drame jusqu’à la maxime finale : « Je vous avais bien averti, pourtant, tout à l’heure encore : l’arithmétique mène à la philologie, et la philologie mène au crime » ! Le comique se niche encore dans la tautologie : nombre de formules du maestro tournent en rond, à l’image de la structure dramatique tout entière. Dans cette ronde sans fin, les gags peuvent bourgeonner à plaisir. L’élève, par exemple, ne parvient pas à faire des soustractions simples mais parvient sans aucune hésitation à effectuer les opérations compliquées : elle sait immédiatement combien font « trois milliards sept cent cinquante-cinq millions neuf cent quatre-vingt-dix-huit mille deux cent cinquante et un, multiplié par cinq milliards cent soixante-deux millions trois cent trois mille cinq cent huit », tout simplement parce qu’elle a appris par cœur toutes les opérations compliquées, pour être certaine de ne pas se tromper ! (Pour information, et comme nos auditeurs l’ont naturellement deviné, le résultat est « dix-neuf quintillions trois cent quatre- vingt-dix quadrillions deux trillions huit cent quarante-quatre milliards deux cent dix-neuf millions cent soixante-quatre mille cinq cent huit ».) Le comique est enfin dans l’épilogue, particulièrement sardonique. Après avoir été réprimandé par sa bonne, le professeur envisage les obsèques et se permet de lancer : « Pas trop chères, tout de même, les couronnes. Elle n’a pas payé sa leçon » !
La pièce relève en bonne partie de la parodie. Qui n’a pas joué à imiter ou à caricaturer ses professeurs ? Ces blagues potache ont toujours fait partie de la relation d’apprentissage, et Ionesco leur donne une forme virtuose. Cependant, la pièce ne se réduit jamais à un canular. Cela tient au fait que le professeur est un grand poète avant d’être un personnage ridicule ou effrayant. Ce professeur est transporté par ses propres mots, happé par l’ivresse de son verbe. La Leçon est d’abord une pure jouissance de la matière linguistique qui évoque Rabelais et ses personnages de savants fous, tels Baisecul et Humevesne ou encore Janotus de Bragmardo. Le professeur parle d’ailleurs de « fatras » pour bien nous faire saisir que la pièce se veut un festival du langage. Ce professeur excelle à détruire pour créer, fidèle, avec certes quelques menus débordements, au principe qu’il énonce au début de la pièce : « Il ne faut pas uniquement intégrer, il faut aussi désintégrer, c’est ça la vie ! »
On rit aux larmes pendant une heure et quart ! Jeanne Brouaye, dans le rôle de la jeune fille, René Loyon dans celui du professeur et Yves Bressiant dans celui de la bonne (et non sans confusion sexuelle calculée) mènent la soirée tambour battant. La pièce sera jouée jusqu’au samedi 17 octobre. Signalons qu’en marge des représentations, le cinéma Le Comœdia invite samedi 10 octobre à 11h15 l’équipe artistique de la pièce à la projection du film de Rok Bicek intitulé L’ennemi de la classe (2015, 1h52).
Goulven Oiry, au TNP, octobre 2015
émission n° 76 (mercredi 30 septembre 2015)
Posté le | mer 30 Sep 2015 | Commentaires fermés sur émission n° 76 (mercredi 30 septembre 2015)
Le théâtre des Célestins est à l’honneur dans Spectaculaire cette semaine : après avoir vu En attendant Godot (compte-rendu ici), nous recevons Marc Lesage, co-directeur de l’institution voisine de la place des Jacobins aujourd’hui. Si Gérald n’aura pas assuré la programmation musicale (laissée aimablement à notre invité), il aura néanmoins su poser maintes questions à celui qui dirige les Célestins avec Claudia Stavisky, lui demandant de commenter notamment cette saison 2015-2016 (qui commence avec un « mois » Beckett) très internationale (dans le cadre, mais pas seulement, du festival « Sens interdits ») ainsi que très politique et d’indiquer aussi pourquoi « Roxane » (the Police), « The Show must go on » (the Queen), Nougaro (« Nougayork ») et « nos fiançailles » (Nilda Fernandez) auront rythmé l’émission !
150930 spectaculaire 76 Célestins _ Marc Lesage
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Beckett aux Célestins : « Godot » pour commencer
Posté le | mer 30 Sep 2015 | Commentaires fermés sur Beckett aux Célestins : « Godot » pour commencer
Et, une fois cette première pièce (1952) du dramaturge anglais qui écrivait en français terminée, ce sera ensuite au tour de Premier amour (1945) ! Pour l’heure (du mardi 29 septembre au samedi 3 octobre), c’est En attendant Godot qui est donné dans la grande salle des Célestins ; et c’est bien. Très bien. Très fort. Si Jean-Pierre Vincent, le metteur en scène, a choisi de privilégier, notamment, le burlesque avec les deux clowns (tristes ?) que sont Vladimir et Estragon – ce dont certains lui tiendront rigueur -, on ne peut qu’être stupéfait par la force d’incarnation des comédiens qu’il a choisis avec un talent fou (le sien et le leur !) : Abbes Zahmani (Estragon) et Charlie Nelson (Vladimir) sont saisissants, aussi sympathiquement pathétiques que terriblement émouvants. Et que dire de Frédéric Leidgens (Lucky), absolument stupéfiant en esclave épuisé, « porc » (le doux nom que lui lance régulièrement Pozzo) poignant, pantin dégingandé mais ingambe, qui force le respect dans sa tirade dingue et délirante ! La pause qui sépare les deux actes est la bienvenue tant le propos, pour peu qu’on y soit bien attentif, est prenant, déroutant et très moderne – l’attente ridicule, tragique, de quelque chose qui ne vient pas et ne viendra même jamais mais qu’on attend quand même car on ne sait pas quoi faire d’autre… En attendant, allez donc voir cette pièce qui, mélangeant les genres, réussit aussi à faire rire – et c’est déjà beaucoup !
ça joue !
Posté le | mer 30 Sep 2015 | Commentaires fermés sur ça joue !
La récré est terminée, on passe aux choses sérieuses ! Avec l’arrivée de l’automne, les théâtres lyonnais entament leur saison. Coup de projecteur (à peine) sur trois pièces qui viennent de commencer aux Célestins, au TNP et à la Croix-Rousse : respectivement, En attendant Godot (Samuel Beckett, du mardi 29 septembre au samedi 3 octobre non loin de la place des Jacobins), la Leçon (Eugène Ionesco, du mercredi 30 septembre au samedi 17 octobre à Villeurbanne) et Bigre (Pierre Guillois, du mardi 29 septembre au samedi 3 octobre sur la colline des Canuts). Précisions sur les sites des théâtres et surtout dans nos émissions ou sur le blog, par le biais de comptes-rendus à venir et d’interviews (nous recevons Marc Lesage, co-directeur des Célestins, ce mercredi 30 septembre) ! Vive la rentrée !
émission n° 75 (mercredi 23 septembre 2015)
Posté le | mer 23 Sep 2015 | Commentaires fermés sur émission n° 75 (mercredi 23 septembre 2015)
Soixante-dix émissions après, Martin revient ! La dernière fois, c’était en juin 2013 ; aujourd’hui, il était bien temps qu’il revienne, accompagné, tant dans l’émission que sur scène, pour bavarder avec Gérald – à qui il aura volé la programmation musicale, puisque tous les morceaux diffusés sont de Martin et ses Antécédents ou Garuda’s Band ! Si Clara qui est sur scène avec lui (notamment le jeudi 24 septembre à la Coopérative) n’était pas à ses côtés aujourd’hui, c’est Ombre, une dessinatrice à l’univers onirique, riche et mystérieux qui lui a tenu compagnie au micro ! De la musique et de la plastique, que demander de plus ? Pour connaître mieux ce qui nourrit les imaginaires (le tarot et Bernie Wrightson !) de nos invités, retrouvez-les l’une et l’autre sur l’internet ainsi que sur scène ou cimaise, très prochainement ou à la fin de l’automne ! Et n’oubliez pas d’aller voir, au théâtre de Fourvière, la Troupe du Levant dont nous parlions la semaine dernière et de lire Le 1 dont nous parlons régulièrement (ils en sont au numéro 75 cette semaine, comme nous : ouah les copieurs ! – ben oui on a commencé notre numérotation avant eux, nous !!).
150923 spectaculaire 75 Martin & Ombre
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émission n° 74 (mercredi 16 septembre 2015)
Posté le | mer 16 Sep 2015 | Commentaires fermés sur émission n° 74 (mercredi 16 septembre 2015)
Et c’est reparti ! Avec Benjamin Forel (que nous connaissons bien !), forcément, ça repart sur de très bons rails – ceux de la jeunesse (notre invité fêtera son trentième anniversaire ce samedi !), de la fougue, de l’énergie, de l’audace ! C’est tout ce que promet le spectacle (Benjamin tient à ce mot) que celui-ci met en scène de ce mercredi 16 septembre au dimanche 27 au Théâtre Antique de Fourvière : Ceux qui marchent à l’ombre des canons [Eloge de l’ombre – Corps 3], une pièce librement inspirée par l’œuvre d’Hanokh Levin. Pour avoir une petite idée de ce que peut être ce que proposent Benjamin et ses acteur, il faut s’en remettre au précieux Gérald, responsable de la programmation musicale (Tiger Lilies et Krakauer) et auteur d’un compte-rendu pour une pièce précédente de la troupe du Levant, Viens viens petite, viens !
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150916 spectaculaire 74 Troupe Levant
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Retour à l’antenne !
Posté le | mar 15 Sep 2015 | Commentaires fermés sur Retour à l’antenne !
Auditeurs, lecteurs, nous revenons ! Après une courte (??) pause bien méritée, nous sommes de retour dans le poste – et sur le blog ! Rendez-vous le mercredi 16 septembre à 14 heures avec Benjamin Forel (déjà venu – mais ça fait un bail !…) pour parler de Ceux qui marchent à l’ombre des canons [Eloge de l’ombre – Corps 3], une pièce librement inspirée par l’œuvre d’Hanokh Levin et mise en scène par notre invité, pour une dizaine de représentations de ce mercredi au dimanche 27 septembre, dans un cadre très original : l’Odéon – Théâtre Antique de Fourvière ! On vous attend nombreux – si si, on pourra mesurer ça, ne nous décevez pas !!
Concert de « Concertos (pour piano », de Beethoven chez Berlioz !)
Posté le | sam 29 Août 2015 | Commentaires fermés sur Concert de « Concertos (pour piano », de Beethoven chez Berlioz !)
Quelle soirée ! Longue et formidable ! « le vol de l’aigle », ont dit les programmateurs du Festival Berlioz de la Côte-Saint-André ? « Impérial », ont répondu les spectateurs des deux programmes donnés ! Les deux horaires (19 heures et 21h30) étaient tout à fait nécessaires puisqu’il s’agissait, pour François-Frédéric Guy, de jouer les Cinq Concertos pour piano de Beethoven, soit près de trois heures de musique ! Eh bien, sans partition mais avec talent, le pianiste (qui connaît parfaitement le compositeur allemand, pour avoir beaucoup joué et enregistré ses oeuvre pour piano) a, de main de maître, su tout aussi bien jouer de son piano que diriger l’orchestre (en l’occurence, l’Orchestre de Chambre de Paris sans son nouveau chef Douglas Boyd) ! Les mots ne pouvant tout dire, rien ne sert de tenter de faire ressentir à quel point le pianiste-chef d’orchestre et les musiciens se sont montrés très à leur aise dans chacun des concertos, ne perdant rien de la fraîcheur du Premier ni de la beauté du Quatrième (donnés tout d’abord), gagnant même en fougue, en énergie et en puissance pour les Deuxième, Troisième et Cinquième tout au long de la soirée : il faut écouter François-Frédéric Guy parler lui-même de ce concert et l’écouter jouer un peu (notamment des extraits de sonate – mais pas celui de la Pathétique donné hier soir en bis…) ; ainsi, peut-être, on pourra comprendre que le public, debout et applaudissant à tout rompre, avait bien raison de faire savoir ostensiblement son enthousiasme !
Tout n’est pas encore terminé, à la Côte-Saint-André, pour cette édition du Festival Berlioz ! Si le concert donné par notre ONL lyonnais est complet le samedi 29 août, il reste encore maintes autres manifestations et festivités, diverses et variées, à consulter dans le calendrier. Se rendre à la Côte-Saint-André (à même pas une heure de Lyon !) vaut vraiment le déplacement, tant la route (si si !), les paysages, la commune, le personnel d’accueil et les concerts sont agréables !
Berlioz a la cote à la Côte (-St André !)
Posté le | dim 23 Août 2015 | Commentaires fermés sur Berlioz a la cote à la Côte (-St André !)
Le festival Berlioz, comme chaque année (depuis 1994 – après un début d’histoire à Lyon !) célèbre, la dernière semaine d’août (un peu plus en fait : du 20 au 30), le compositeur natif de la Côte-St André, petite ville non loin de Grenoble – et à une toute petite heure de Lyon ! Des précisions à venir sur cette édition consacrée à Napoléon – mais sachez déjà que le(s) concert(s), donné(s) sur deux horaires (19 heures et 21h30, le vendredi 28 août) pour les cinq Concertos pour piano de Beethoven, qu’admirait Hector Berlioz, par François-Frédéric Guy au piano ET à la tête de l’Orchestre de Chambre de Paris, promettent beaucoup !
Mots-clés : Beethoven > Concertos pour piano > festival Berlioz > François-Frédéric Guy > la Côte-St André > Napoléon > Orchestre de Chambre de Paris