Spectaculaire

émission à caractère culturel (un peu mais pas trop quand même) les mercredi de 14h à 15h

« Chaque jour un peu plus y a le jazz qui s’installe » : bientôt Jazz à Vienne !

Posté le | mer 3 Juin 2015 | Commentaires fermés sur « Chaque jour un peu plus y a le jazz qui s’installe » : bientôt Jazz à Vienne !

Oui, Claude Nougaro lui-même le sentait venir : encore moins d’un mois et le festival Jazz à Vienne commencera, pour la quinzaine de jours habituelle, du jeudi 26 juin au samedi 11 juillet ! Et, à « Spectaculaire », nous nous en réjouissons car nous en parlerons à la fin du mois de juin avec un appel que nous passerons au directeur Stéphane Kochoyan (émission du 24 juin) et la réception du groupe du Caravan’Jazz de cette édition the Buttshakers (émission du 1er juillet). Et, pour vous, auditeurs de l’émission, lecteurs du blog, pour récompenser votre fidélité et vous féliciter de votre bon goût (oui oui, écouter ou lire « Spectaculaire » témoigne assurément d’une prédisposition tant à l’humour et à la bonne humeur qu’à la curiosité et à la joie de vivre !), NOUS VOUS OFFRONS DES PLACES POUR VOUS RENDRE À VIENNE Y ÉCOUTER DU JAZZ ! Alors, elle est pas belle, la vie ? Et qu’est-ce qu’on dit ? Rien ! On saute sur son clavier et on abreuve cette page de commentaires (ou alors on appelle l’émission en direct le mercredi entre 14 et 15 heures) pour demander à aller voir la clôture de la première fin de semaine « week-end à la Nouvelle Orléans 3 » (dimanche 28 juin) et la soirée « Jazz Legends » (jeudi 9 juillet) ! Attention : ici c’est pas la Bible ! Les premiers seront les premiers et les derniers, forcément, eh bien ce seront les derniers !! Alors vite vite vite !

Spot Jazz à Vienne 1

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Spot Jazz à Vienne 2

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émission n° 69 (mercredi 3 juin 2015)

Posté le | mer 3 Juin 2015 | Commentaires fermés sur émission n° 69 (mercredi 3 juin 2015)

Franck-Emmanuel Comte, le directeur du Concert de l’Hostel-Dieu, est l’invité aujourd’hui ; il nous présente le dernier concert de la saison régulière (il reste encore d’autres concerts dans le cadre du nouveau festival estival la Tour passagère – les 8 et 9 juillet – ou de Tout le monde dehors), le lundi 8 juin à la Chapelle de la Trinité (autour de l’année 1707 et du Dixit Dominus de Haendel avec d’autres oeuvres de Bach et Scarlatti), et de la saison prochaine (neuf programmes sur neuf mois, soit une belle gestation autour des Constellations). Gérald relance notre invité sur des questions esthétiques, artistiques et historiques, lui laissant le soin d’assurer la programmation musicale : « dixit dominus » et « gloria » de Haendel soit le tout début et la toute fin de l’oeuvre principale du concert, enregistrée par le Concert de l’Hostel-Dieu au festival de la Chaise-Dieu (d’autres enregistrements de cet excellent ensemble lyonnais sont disponibles sur leur site ainsi que sur les lieux des concerts). Deux-trois annonces en fin d’émission : le 1 parle d’école cette semaine, Mai, Juin, juillet (la pièce de Denis Guénoun dont nous avons parlé la semaine dernière avec le comédien Maxime Mansion) continue au TNP jusqu’à samedi, Pelléas et Mélisande de Debussy commence lundi prochain à l’Opéra de Lyon (nous en parlerons dans l’émission de mercredi prochain avec Yniold !) et les festivals locaux (v)ont commencé(r) – c’est fait pour les Nuits de Fourvière ; c’est à venir pour Jazz à Vienne (plus de renseignements à venir sur le blog, à l’antenne, et déjà ci-dessous !)

Spot Jazz à Vienne 1

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Spot Jazz à Vienne 2

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150603 spectaculaire 69 F-E Comte Concert Hostel Dieu

émission n° (mai !) 68 (mercredi 27 mai 2015)

Posté le | mer 27 Mai 2015 | Commentaires fermés sur émission n° (mai !) 68 (mercredi 27 mai 2015)

Maxime Mansion est l’invité d’aujourd’hui, en cette dernière émission du mois de mai (68 !!) ; il vient parler de la pièce de Denis Guénoun dans laquelle, comme de nombreux acteurs de la troupe du TNP ainsi que de la Maison des comédiens, il interprète un grand nombre de rôles (un militant déboussolé, un directeur de théâtre en retrait, un danseur désemparé mais chevelu et fan de Julian Beck du Living Theater !), Mai, juin, juillet – dans les théâtres de 1968 (2012). Réécoutez donc l’émission, ci-dessous, pour en savoir plus (ne manquez pas de re/lire aussi le compte-rendu sur le blog !) et connaitre le jeune comédien qui s’est saisi d’une question (LA question essentielle ?) du théâtre, la place du texte, par le biais de sa compagnie la Corde rêve et du festival qu’il organise au Lavoir Public (sur les pentes de la Croix-Rousse, au 4 de l’impasse Flesselles) « En Acte(s) » ! Gérald aura su, puisque, normalement, la musique doit primer sur les paroles (dit Salieri), nous faire écouter de la bonne musique : « whole lotta love » de Led Zeppelin (Mothership) et la « Sarabande » de la Deuxième suite pour violoncelle de Bach (dans sa version historique par Pau Casals !) ; Maxime, pour terminer, aura remis un peu de politique dans la partie avec « la Chanson du forçat » (1 & 2) de Gainsbourg. En fin d’émission, un mot de Gérald sur l’actualité politique du jour : l’entrée au Panthéon de quatre résistants ; il nous enjoint de lire le 1 et le livre de Germaine Tillion une Opérette à Ravensbrück. Enfin, n’oubliez pas la danse (Grenoble le dit d’ailleurs dans la pièce : « Et puis la danse ! ça met tout le monde d’accord ») : Frank Laizet que nous recevions la semaine dernière est au Radiant-Bellevue de Caluire pour Premières, un spectacle de trois créations par le Ballet de l’Opéra de Lyon (jusqu’à ce samedi 30 mai) ! Et Franck a trouvé un (super) nom pour sa pièce : « Carpe that rocking diem » ! Yeah !!

 

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150527 spectaculaire 68 Maxime Mansion TNP Mai, juin, juillet

mais – joie ! – j’huais ! : « mai (1968), juin, juillet » au TNP

Posté le | mer 27 Mai 2015 | Commentaires fermés sur mais – joie ! – j’huais ! : « mai (1968), juin, juillet » au TNP

Quel souffle ! Quel vent de folie sur la scène principale du TNP pour la pièce Mai, juin, juillet (dans les théâtres de 1968) de Denis Guénoun (2012) jouée (incarnée !) pendant deux semaines jusqu’au samedi 6 juin (attention à l’horaire : 19h30) ! Si le texte (chronique, du point de vue du théâtre – mais toute cette époque ne fut-elle pas effectivement dramatique ? – des événements de mai 68) est déjà d’une grande richesse dans ses trois parties mensuelles, le passage à la scène est formidable ! Dès le début (les premières mesures, les premières notes – car, oui, ce texte est une vraie partition !), la douce atmosphère créée par la voix légère et délicate de Marcel Bozonnet (Jean-Louis Barrault, le directeur du prestigieux théâtre parisien l’Odéon) est brisée et emportée par la fougue des étudiants, qui, en foule, apparaissant dans des portes de part et d’autre de la scène, prennent possession des lieux et de l’Histoire ! Pendant trois heures – bah, va-t-on nous croire ? on le dit quand même : on ne les voit pas passer ! -, des oppositions tranchées vont ainsi alterner, dans les personnes et les idées : aux monologues des épistoliers Barrault et Jean Vilar (Robin Renucci), répondent des discussions en assemblées entre étudiants (coucou Dany Cohn-Bendit !), politique (hello De Gaulle et Pompidou !) et dirigeante (qu’ils sont nombreux, les directeurs des théâtres de province !). Et quand on voit l’auteur lui-même (en fait « elle-même » ; après tout, Denis Guénoun a le droit d’aller au bout de ses idées féministes !) parler de la pièce et converser avec Mai, Juin et Juillet ainsi qu’avec la Révolution et la Poésie (autour d’un verre de rosé…), on achève de considérer cette oeuvre comme littéralement sidérante et de tenir Christian Schiaretti, le metteur en scène, pour un prodigieux chef d’orchestre, aussi habile dans les soli que les tuttis ! On ne peut forcer personne mais on tient à le dire : il FAUT aller voir cet impressionnant spectacle avant qu’il ne se termine (après sa création en octobre 2012 à Villeurbanne et sa reprise au festival d’Avignon en juillet 2014) !

un vendeur et un client : deal stupéfiant (les Célestins à la Part-Dieu)

Posté le | ven 22 Mai 2015 | Commentaires fermés sur un vendeur et un client : deal stupéfiant (les Célestins à la Part-Dieu)

Compte-rendu complet à venir sous peu sur la pièce donnée, dans le cadre de la (fin de) saison des Célestins, au Centre commercial de la Part-Dieu (place d’eau), Dans la solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltès (1987) par Roland Auzet avec les sublimes (le jeu de mot « stupéfiantes » a déjà été fait dans le titre…) Anne Alvaro et Audrey Bonnet !

Divagations, digression, dépression : « dispersion » aux Célestins

Posté le | mer 20 Mai 2015 | Commentaires fermés sur Divagations, digression, dépression : « dispersion » aux Célestins

C’est sur un extrait de la chanson « Nobody’s baby now » de Nick Cave (paroles reprises par les personnages) que s’ouvre la pièce Dispersion de Harold Pinter (tirée de Ashes to ashes, 1996 – mots également repris !) donnée encore seulement jeudi 21 et samedi 23 mai (annulation vendredi 22) sur la scène principale des Célestins (une autre pièce de la saison de l’auguste théâtre lyonnais est jouée au Centre commercial de la Part-Dieu : guettez le compte-rendu à venir pour Dans la solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltès par Roland Auzet avec Anne Alvaro notamment). Gérard Desarthe, metteur en scène et acteur, explique, dans une vidéo en ligne sur le site des Célestins qu’il a choisi Carole Bouquet car il trouvait cette actrice « troublante et énigmatique, tellement belle et tellement distante » : c’est assurément un excellent choix tant Carole paraît effectivement folle dans le rôle de Rebecca, une magnifique mythomane magnétisée par son amant (existe-t-il vraiment ?), mue par des réminiscences et des émotions, sables (é)mouvants desquels elle ne peut se sortir, finissant par tomber le masque dans une fin déroutante, mer(e) dans laquelle elle se noie littéralement… Difficile d’en dire plus sur cette pièce qui, se déroulant dans un classique salon bourgeois (certes contemporain), s’articulant autour de la trame classique également du trio de la pièce bourgeoise mari-femme-amant, joue toutefois sur ces codes puisque l’amant est absent et que le salon, baigné dans un noir total à intervalles quasi réguliers, est un lieu que le couple traverse, oublie, nie, Devlin buvant de plus en plus, dans différents verres, différentes bouteilles de whisky et Rebecca divaguant en ville et dans le Dorset (!). Il faut quand même écouter ce qu’elle a à dire (et comment Carole Bouquet le dit), la pièce étant brève (cinquante-cinq minutes) et le propos dérangeant.

Dispersion03

Carole Bouquet dans "Dispersion"

émission n° 67 (mercredi 20 mai 2015)

Posté le | mer 20 Mai 2015 | Commentaires fermés sur émission n° 67 (mercredi 20 mai 2015)

« Alors on danse » chante Stromae : eh bien, aujourd’hui, avec Franck Laizet, danseur, et Gallia Valette-Pilenko, critique de danse, on aura parlé de danse, puisque le Ballet de l’Opéra de Lyon, prestigieuse (et internationale !) institution lyonnaise, met trois de ses danseurs à l’honneur (Franck, donc, ainsi que Tadayoshi Kokeguchi et Ashley Wright) en programment la création de chacun lors de Premières, spectacle donné à partir de la semaine prochaine au Radiant-Bellevue (du mercredi 27 au samedi 30 mai, à 20h30). À défaut d’écouter des extraits de l’univers sonore (rock !) de Sylvain Ricci, compositeur que Franck a choisi pour sa pièce, on aura entendu, grâce à Gérald et Gallia, « Psyché Rock » extrait de Messe pour un temps présent de Pierre Henry (qui travailla avec Maurice Béjart), « le voyageur immobile » (sur l’album éponyme de Torgue & Houpin [musique pour un ballet de Philippe Genty en 2010 ainsi que générique de la défunte émission « de bouche à oreille« , nous aura rappelé Gérald, grand auditeur de France Culture – merci à ce blog pour le coup de pouce]) et « Fratres » (sur l’album éponyme d’Arvo Pärt). Quatre mots en conclusion : deux de Gérald sur le 1 (qui traite de la question noire en Amérique cette semaine) et sur Télérama (Hors-Série sur Le Corbusier) ; puis deux de théâtre sur Dispersion et Dans la solitude des champs de coton donnés aux Célestins (et à la Part-Dieu pour Koltès !) – et une dernière indication, en toute fin d’émission, sur les invités de la semaine prochaine, liés à la pièce Mai, juin, juillet de Denis Guénoun donnée au TNP du mardi 26 mai au samedi 6 juin.

 

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150520 spectaculaire 67 Ballet Lyon Franck Laizet _ Gallia

 

 

Sur les planches, actuellement et à venir !

Posté le | lun 18 Mai 2015 | Commentaires fermés sur Sur les planches, actuellement et à venir !

Petite brève pour parler de trois pièces : deux données aux Célestins et une au TNP ! Dispersion (tiré de Ashes to ashes de Harold Pinter, 1996) par Gérard Desarthe, avec Carole Bouquet jusqu’à ce dimanche 24 mai (mais pas le vendredi 22 mai : annulation ; billetterie à contacter au 04 72 77 40 00) ainsi que Dans la solitude des champs de coton (1987) de Bernard-Marie Koltès (jouée, jusqu’au samedi 13 mai, au centre commercial de la Part-Dieu !) pour les Célestins et Mai, juin, juillet (2012) de Denis Guénoun au TNP , du mardi 26 mai au samedi 6 juin (à un horaire particulier, en raison de la durée du spectacle : 19h30 – la pièce dure plus de trois heures !), par Christian Schiaretti et la troupe du TNP dont Olivier Borle ainsi que Robin Renucci et Marcel Bozonnet. Comptes-rendus, en ligne et à l’antenne, ainsi qu’interviews d’artistes à retrouver dans nos prochaines émissions !

 

émission n° 66 (mercredi 13 mai 2015)

Posté le | mer 13 Mai 2015 | Commentaires fermés sur émission n° 66 (mercredi 13 mai 2015)

Record établi aujourd’hui : six invités autour des trois micros à leur disposition (Gérald, nécessairement, et moi, monopolisant les deux restants !) !! C’est que le projet concerne du monde et que son idée est universelle : s’occuper des jeunes pour, par le biais de la musique, les faire réussir ! Il fallait donc bien deux adultes Dewy Besson et Michaël Castrichini, ainsi que quatre élèves Maëlys, Maïssa, Sonny et Mattéo pour parler de VerraMuse et du concert à venir le mardi 19 mai prochain au Palais de la Mutualité (20 heures) ! Respectivement, les deux professeurs de musique (un coordinateur et un chef d’orchestre), la jeune flutiste, la violoniste, le trompettiste et le corniste n’auront pas eu trop d’une heure pour se présenter et raconter leur expérience de la pratique musicale au collège. L’association reconnaissant s’inspirer d’El Sistema de Jose Antonio Abreu, nous avons donc écouté la danzon n° 2 d’Arturo Marquez ; puis un professeur de VerraMuse a joué Obsession d’Ysaye ; enfin, les élèves ont interprété l’hymne à la joie (de la Neuvième symphonie de Beethoven) et Mattéo, tout seul, « ah vous dirai-je maman » ! VerraMuse ayant aussi soutenu le projet de comédie musicale Luménia de Bruno-Michel Abati avec le collège Jean de Verrazane, nous avons diffusé un extrait de répétition de ce spectacle.

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150513 spectaculaire 66 VerraMuse

émission n° 65 (mercredi 6 mai 2015)

Posté le | mer 6 Mai 2015 | Commentaires fermés sur émission n° 65 (mercredi 6 mai 2015)

Deux invités aujourd’hui (pour rattraper le coup « sans » de la semaine dernière…) : Warda Houti et Brahim Msahel sont venus nous parler, selon la règle, (brièvement) d’eux-mêmes et (abondamment) de Alfenzine, le projet « participatif » de développement durable entre les deux rives de la Méditerranée ! Cela n’est pas très clair ? Alors c’est assurément le rédacteur du blog qui ne l’est pas car nos invités et leur site sont on ne peut plus limpides sur leur action puisque, par exemple, on aura parfaitement compris que « la priorité va aux actions pouvant rapidement déboucher sur de l’activité économique localement » (dans le village d’Anguelz, à environ cent quarante kilomètres de Marrakech dans la commune de Telouet) ! Manifestez donc votre intérêt pour ce projet en le soutenant financièrement par le biais de dons sur le site Kiss Kiss Bank Bank ! Des stages de percussion, notamment, sont proposés ; pour se faire une idée de cette musique, réécoutez donc tout ce qu’a programmé Gérald dans l’émission ! Voici ce qu’il dit lui-même de cette très riche programmation musicale :

1- extrait de Hassan Hakmoum & Adam Rudolph : « Ma’ Bud Allah » ( Coffret 2 CD : Desert blues Ambiances du Sahara, 1995 ; un grand classique) morceau issu de la tradition gnawa

2- Amina Alaoui, Ahmed Piro et son orchestre (Musique arabo-andalouse du Maroc, 1995, Voyage autour de la Méditerranée, Cité de la musique/Actes sud) : « Istikhbar Jarka » : An Hwakoum ».

3- RadioTarifa :  » Rumba Argelina  » (Album du même nom, 1995) Fusion

4- Areski : « Le triomphe de l’ amour » (Album du même nom, 2010,  et seul titre écrit par …. Brigitte)
Alfenzine Ksar

Alfenzine Ksar

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150506 spectaculaire 65 Alfenzine
« go backkeep looking »