Ce vendredi dans On est pas des cadeaux !, pour garder un petit goût d’été malgré que l’automne est arrivé, nous parlons de naturisme, de rapport à la nudité… On est pas des cadeaux !, une émission cul nu ! Bonne écoute !
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Cette semaine dans On est pas des cadeaux, une nouvelle émission sur les folles. On a déjà discuté en début d’année de la place des folles dans nos constructions et dans nos communautés, des folles que nous sommes ou que nous voudrions être. Cette fois, on voudrait vous présenter les folles qui nous inspirent ou qui nous font rêver, dans des films, 
des textes ou des musiques : notre panthéon de folles ! Avec :
Karo, Un garçon en minijupe
Gloria Gaynor, I will survive
Charles Fox, Wonder Woman (générique)
Billy Wilder, Certains l’aiment chaud (extrait)
Miss Kittin, Troisième sexe (reprise d’Indochine)
Dead or alive, You spin me round
Eric Morena, Oh , mon bateau
Charpini et Brancato, le Duo des Dindon
Bassline Boys, Je suis une grande folle
Jacques Demy, Peau d’âne (extrait)
Robert Zemeckis, Qui veut la peau de Roger rabbit ? (extrait)
Twisted Sister, We’re not gonna take it
Pet Shop Boys, Absolutely fabulous
Bonne écoute !
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Le vendredi 24 juin, On est pas des cadeaux investit le Rita-Plage pour une soirée qui s’annonce magique ! Pas trop notre délire de changer l’eau en vin, alors on a proposé aux copines des Tourloupes de nous présenter leur spectacle. A partir de 20h, viens nous voir au 68 cours Tolstoï, à Villeurbanne, pour profiter des tours, du buffet vegan (à prix libre !), et soutenir cette émission transpédégouine et féministe !
Cette semaine, on vous propose de discuter de la websérie Diaspora/Situations avec son réalisateur, Tarek Lakhrissi. Avec la familiarité d’une conversation amicale, les différents épisodes nous permettent de rencontrer artistes, étudiant.tes, militant.es, et d’écouter leur façon de se raconter, à travers des langages multiples, qu’ils soie
nt ceux du corps ou des mots. Pour reprendre les mots de Tarek, il s’agit d’une « série de brefs portraits de minoriséEs qui réfléchissent à l’impact de la diaspora dans leur façon de vivre. » Elle comporte aujourd’hui cinq épisodes, qui nous amènent entre l’Europe et l’Amérique du nord, on vous invite à découvrir tout cela et à suivre les prochains sur le site de la série !
Bonne écoute !
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Une émission d’actualité toujours brûlante, une émission sur la mort, sur nos morts…
Comme vous le savez, à On est pas des cadeaux! nous aimons bien gratter là où ça fait mal, mettre des mots là où il serait plus approprier de se taire si on écoute les garent.E.s de la moralité. Faire valser les conventions qui jusqu’à la mort tentent de régir nos vies.
Nous parlons des rituels ceux qu’on subit ceux qu’on choisi, histoire de s’offrir un peu d’espace, d’inspirations collectives….
Parler de la mort et de sa gestion, c’est toujours le risque de plomber l’ambiance alors que le plomb il est dans la chape qui enserre nos imaginaires.
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Cette semaine, nous parlons de porno, et dans les détails ! Avec trois invitées, on discute de ce qui peut leur plaire dans la pornographie, pourquoi, quand et comment elles en 
regardent. Mais surtout, c’est de porno féministe, queer, BDSM dont il est question, loin des idées un peu toutes faites sur l’industrie du film en général, il faut rappeler que c’est dans ces milieux que se conçoivent d’autres façon de tourner, centrées sur le consentement entre partenaires. C’est aussi l’occasion de noter quelques adresses de site, des noms et pas mal de titres ! Parce que comme le répète le collectif barcelonais Post-Op, un autre porno est possible !
Bonne écoute !
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Aujou’d’hui, on (re)parle du mouvement anarco-queer insurrectionnaliste Bash Back ! dont les textes ont été regroupés dans une anthologie parue aux Etats-Unis. Un groupe de transpédégouines fabuleuses, la bande à Cris-Tea, en a entamé une traduction qui circule depuis septembre 2012. Queer Ultraviolence, c’est une série de textes, de manifestes, d’analyses radicales, d’entretiens, et c’est disponible ici.
To bash en anglais, c’est attaquer, et c’est le terme utilisé pour décrire les agressions de personnes queer. To bash back, c’est rendre les coups, c’est se réapproprier la violence dont on nous fait trop souvent seules victimes. Aujourd’hui, en complément de ce qui s’était dit dans la première émission sur Bash Back, on avait envie de lire des extraits de cette brochure, parce que ce sont des textes très forts, et qu’ils permettent de penser la violence comme stratégie politique, de la remettre au centre de notre histoire, d’interroger sa place dans nos corps et de se demander pourquoi ce sont toujours ceux qui ont le pouvoir de l’exercer qui définissent ce qui est violent ou pas.
Bonne écoute !
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Nous rediffusons ce vendredi 11 Mars, une émission de Gouinement lundi, l’émission 100% lesbienne et bie, enregistrée début mars, diffusée sur Radio homomicro. C’est la deuxième partie de « Etre lesbienne, bie, queer et racisée en fRrance ». Il s’agit de la prise de parole de Zolan, des Lesbiennes of Color, Amandine N’nonga, du collectif Afroféministe Mwasi, Elsa Kandem, militante au collectif Garces (Groupe d’action et de réflexion contre l’environnement sexiste basé à Sciences Po), et à la queer week ; et Salima Amari, sociologue et auteure d’une thèse sur « Construction de soi et relations familiales chez les lesbiennes maghrébines migrantes et d’ascendance maghrébine en France ».
Bonne écoute !
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Cette semaine, les salles de cinéma de Lyon accueillent le Festival de cinéma queer Ecrans Mixtes pour sa sixième édition. Mais Ecrans Mixtes, c’est quoi ? Depuis six ans, le festival propose une programmation de long métrages, de documentaires et de courts métrages souvent négligés par les salles françaises. Et cette année, ça donne quoi ? On a proposé à Maxime, qui fait partie de l’association qui organise le festival, de venir en parler avec nous.
Ça dure jusqu’au 8 mars !
Bonne écoute !
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Five six seven eight, Organise and demonstrate !
Mars 2003, malgré une grande mobilisation internationale qui s’opposait à la guerre, une pluie de bombes s’abat sur l’Irak, lâchées par la coalition USA/Royaume-Uni après 13 ans d’embargo. A cela s’ensuivent 8 ans d’occupation du pays par les puissances occidentales (dont la France), et une guerre civile continue, terreau de la création de l’Etat Islamique. Novembre 2015. Après les attentats à Paris, en plus de l’état d’urgence pour 3 mois, la France déclare qu’elle est en guerre (apparemment elle n’y était pas encore, malgré les bombes lancées sur la Syrie à partir de septembre 2015 sans compter les présences et déploiements de l’armée française au Tchad, Mali, Irak, République centrafricaine, Djibouti, Côte d’Ivoire, Gabon, Sénégal, Liban …). Depuis elle continue de bombarder la Syrie dans une indifférence politique et médiatique certaine. L’émotion après les attentats et l’état d’urgence ont donné raison à la propagande du choc des civilisation et à la politique anti-terroriste tout en muselant l’opposition aux bombardements. Si les morts du Bataclan ont été longuement pleurés, on ne pleurera pas les morts civils des bombardements français et consort, après tout, ils ne sont que des dommages collatéraux… Mais qui est responsable de tout ça ? On est pas des cadeaux vous propose d’écouter deux interventions de Saïd Bouamama, militant, chercheur et sociologue engagé, à Grenoble, dans le quartier de la Villeneuve le 20 novembre 2015 et à Montpellier, le 11 décembre 2015 sur les causes des attentats, les enjeux géopolitiques mais aussi les enjeux nationaux. Bonne écoute !
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